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Alessa Web-Log

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6 novembre 2005

Ballad of the Phantom's loneliness

Voici une modeste nouvelle que je viens de terminer d'écrire pour un de mes cours. Si l'anglais ne vous répugne pas, je suis ouverte à toutes les critiques!

Ballad of the Phantom's loneliness.

The diffuse light of the candle glowed in the darkness of the room. Beside it, a cool-staring man was sitting on a rich-looking black velvet sofa. He was wearing an old three-piece suit making him looking as he was returning right from the nineteenth century. But the most remarkable thing about him was not his clothes but his face... Half of his soft and exquisite features were hidden by a white half mask. You could have believed he was getting ready for a bal masqué except his gloomy, grave and glum expression. After a long while gazing at the flickering blazing of the candle, he stood up and walked calmly across the place. Diverse items cluttered the room in a so consequent manner that he could not go further than three strides. During his stroll, he was stroking with love the ebony desk, the candlestick, the feminine marble bust and the red velvet curtains that kept the room in a perpetual night. After three or four times of this ritual, he placed himself in front of the lofty mirror enclosed with wrought iron and began to contemplate his person intensely.

He cast his eye over his appearance and stopped suddenly when his look skimmed over his half hidden features. He could not recall the last time he had seen his face without the white mask he was wearing. His deep-seated hatred had no boundaries towards this slender object. This object was the symbol of the distorted skin that brought him the aversion of his mother, the disgust of his childhood friends... Carried like a dog, from town to town, to be exposed in a fair : « Come! Come inside and contemplate the Devil's child! ». Even this day, he could still hear the shouting of the crowd looking at his disfigured face.

But one day, he managed to escape from the fair which was set in the middle of Paris. He ran, ran, ran until the wind formed tears in his eyes.

Then he saw it for the very first time : the great Opera, so humongous that it certainly was the perfect place to hid from the world and forget all about humans and society that had brought him so much pain and despair. He entered the Opera and, years after years, grew in age and intelligence... But his grudge was buried deep inside of his heart. A glimpse of a man dwelling in the depths of the Opera sufficed to fire his crave for revenge.

« Phantom... » he thought, knocking the mirror with his clenched fist. « They call me Phantom of the Opera... They treated me as the ugliest animal on earth, and now, the want me to be no more than a drifting soul... »

His hand reached a thick rope dumped on the ebony desk and he tensed it until his bones could be seen under the pale skin of his phalanxes.

« I am a man! » he cried out loud « Tonight... They will pay, they will beg my pity. Tonight, justice will be done, this rope will become the witness of my determination, I swear it! »


The day after, the gates of the Opera were closed. Every single newspaper talked about this major event : a corpse was found in the vaults of the theater, hanged with a thick rope...

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6 novembre 2005

Le 10 décembre...

... approche à grands pas.

J'anticipe votre question : Mais que se passera-t-il le 10.12.2005 ???

    * La fin du monde? non. (Quoique...)
    * Mon anniversaire? Non plus, c'était déjà en octobre qu'un chiffre s'est ajouté à mon compteur.
    * Le passage de la comète de Halley? Revoyez votre astrologie...
    * Ce sera le lendemain du 9 et la veille du 11? Oui, mais bon...

J'arrête là votre imagination débridée, et vais vous décevoir en vous apprenant qu'il s'agit simplement de la prochaine date à laquelle je vais prendre un micro dans mes petites mains tremblantes et chanter devant des gens. Cette date porte donc une connotation d'appréhension et d'excitation que doivent connaître tous ceux qui entreprennent un projet visant à sensibiliser un public à ce à quoi on tient personnellement.

Dans mon cas, il s'agit du chant. Cette fois en plus, non contents de jouer devant un public assez large (une bonne centaine de gens, c'est loin d'être Forest National, mais beaucoup pour nous), et composé de musiciens TRES chevronnés qui plus est, nous nous sommes mis en tête Bastien (mon frère donc, pour ceux qui n'ont pas lu mon épisode précédent) et moi-même de composer une chanson dédicacée à l'organisateur de la soirée. Autant dire que je me creuse la tête dans tous les sens pour rédiger des paroles dignes de ce nom, en français pour une fois (ce qui est plus difficile pour moi, paradoxalement).

Comme un grand nombre de musiciens prendra part à cette soirée, chacun s'est vu attribuer le montant de deux chansons. Ce soir-même, nous avons jetté notre dévolu pour "Angel" de Sarah MacLachlan que nous reprendrons dans une version guitare acoustique - voix plus sobre que l'originale. Rien à faire, les tonalités celtiques nous séduisent.

5 novembre 2005

Passage à Ubuntu

ubuntu_breezybadger




































CA Y EST !!

Mes amis, le jour tant attendu est arrivé! Je suis enfin passée sous Linux, plus précisément la dernière version d'Ubuntu, projet que j'avais en tête depuis... oulah... au moins ça.

Petit résumé de mon très maigre parcours Linuxien...

Bastien : Bon, Pascale. Que dirais-tu de passer sous Linux? [Je vous passe toute son argumentation qui, ma foi, aura bien le mérite d'être retranscrite un soir où je serais moins fatiguée.]

Moi : Heuu... Je réfléchis.

(Quelques jours plus tard...)

M : Wééé! Je suis super boost! Je veux Linux!!

B : Pas de problême soeurette, laisse faire le pro, regarde et apprend.

(Quelques heures plus tard...)

B: Voilà! Va y, découvre par toi-même ce merveilleux système d'exploitation!

M: Génial!
(Une minute plus tard...)

M (crie) : Bastieeeeen??? Y a la carte son qui marche pô...

B: Laisse moi voir.

(Quelques heures plus tard, après des prérégrinations à n'en plus finir dans les lignes de commande...)

B (transpirant à grosses gouttes) : Ca...y...est...

M: Wééé!!

(Une autre minute plus tard, juste le temps de m'extasier sur la beauté des icônes...)

M (gémit) : Bastieeeeen??? Y a...

B (un peu énervé) : Quoi encore?!

M: ...la souris qui répond pô...

(Des heures passent, des jours, je fatigue, les problêmes se succèdent de même que les versions de Linux...Pour en arriver à...)

M: Merci de m'avoir fait connaître Linux, mais je crois que je vais garder Windows pour le moment...

Si je finis cette note de blog ici-même, je me ferais embrocher, et avec raison, par tous les utilisateurs Linux qui se donnent un mal fou pour le populariser. Mais détrompez-vous, malgré ces malchances et adversités (qui ne sont finalement qu'un cas particulier au milieu de tous les autres où les installations ont marché comme sur des roulettes bien huilées), je demeure, et le début de mon écrit en témoigne, une ardente convaincue qui compte bien acquérir de l'expérience maintenant que tout fonctionne chez elle!

Le seul énoncé que vous devez retenir de mon écrit est le suivant :

Linux n'est PAS plus complexe que Windows, c'est juste une question de choix et d'effort d'adaptation!

Sur cette bonne parole, bien le bonsoir les amis.

PS: Spéciale dédicace (ouch, ca fait vraiment skyblog ça...) à ceux qui ont installé Ubuntu sur mon portable ce mercredi à la Linux Install Party organisée par l'ECE et le LUG de Louvain-la-Neuve. Dieu sait s'ils ont eu des difficultés avec ma carte WiFi et qu'ils se sont démenés pendant trois heures dessus (d'ailleurs, voyez vous-même, ca fonctionne maintenant, rien tel que cet esprit communautaire que transporte l'Open Source! Snnirrf, que c'est beau!)

5 novembre 2005

Bonjour

On commence toujours les discussions par un bi-syllabique de ce genre, alors voilà, bonjour.

C'est toujours très compliqué de commencer... On a envie de paraître marrant, plein d'esprit et léger à la fois mais laissons là pour ce soir ces soucis d'originalité, je vais tout simplement me présenter à ceux qui atterriraient sur ce site par hasard (et qui selon toute vraisemblance n'auront même pas pris la peine de lire jusqu'ici, mais on est jamais trop prudent).

- Salut, ton nom, c'est...?

- Pascale.

- Ah, c'est original... Hum, et sinon, tu fais quoi dans la vie?

- Rien de fantastiquement différent de beaucoup : j'étudie la littérature anglaise et française, la linguistique, la théorie de la littérature, tout ça. A l'UCL, comme ça c'est à deux pas de chez moi.

- Donc tu ne kotte pas, ça doit t'ennuyer. Pas trop dur d'avoir les parents tout le temps sur le dos?

- Non, dans le sens où ils sont compréhensifs, voire même coopératifs, et que je suis parfois très casanière pendant certaines périodes. En plus, mon frère, Bastien, qui a deux ans de plus que moi, vit aussi à la maison, et nous avons tellement d'intérêts communs que ne pas se voir serait pire que les restrictions imposées par l'autorité parentale.

....

C'est chiant à lire, n'est-ce pas? C'est bon, c'est bon, j'arrête. Je crois que j'ai battu les records de l'introduction la plus vaseuse. Passons dans le vif du sujet, finalement, c'est pour ça qu'on est là, non?

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